Ceux qui n’était pas nés et qui ne vivait pas en France il y a environ un quart de siècle ne comprendront pas l’origine de ce titre abscons. J’ignore moi-même pourquoi il a surgi des tréfonds de ma mémoire. Toujours est-il qu’il me permet d’introduire une anecdote simiesque inédite.
Hier matin sous un soleil radieux et de nombreuses couches de vêtements en nous promenant avec Yumi aux abords du parc de Sawamura, à deux pas de chez nous, nous avons aperçu un macaque japonais, la photo dont je dispose est moyenne : avec mes doigts gourds et ma fille prise de panique à la vue du singe je n’ai guère pu faire mieux avant que l’animal ne disparaisse.

Pour nos amis pisteurs, trappeurs et autres primatologues avertis, j’ajoute la photo d’une empreinte que l’animal a laissé dans la neige (le macque japonais est le primate, à l’exception de l’homme, ayant l’habitat le plus septentrional, il est donc habitué aux rudes hivers de nos latitudes). Pour les autres je vous laisse avec Murphy.
